La jalousie, catalyseur du désir

“C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille magnétique qui a trouvé son pôle. ”.

« Bien sûr que je tiens à toi Octavia. Il ne me viendrait jamais à l’idée de plaisanter sur ce genre de choses ni même à me jouer de toi » lui répondis-je d’un ton on ne peut plus sérieux. J’ignorais ce qu’elle s’imaginait de l’homme que j’étais réellement mais une chose était certaine, elle pouvait d’ores et déjà, rayer la mention : salopard. Je ne pouvais pas parler d’amour, pas maintenant. Je ne disais jamais ces trois petits mots très facilement. Je crois que mon ex-femme avait du attendre deux ans après notre mariage avant que je ne les lui dise. Bien sûr, je savais me faire comprendre, je savais montrer mes sentiments mais ces trois petits mots, c’était trop m’en demander. Un je t’aime devait venir du plus profond de votre cœur et j’estimais qu’à trop le répéter, il en perdait de sa profondeur justement. En attendant, cela ne m’empêchait pas de tenir sincèrement à cette femme et surtout d’éprouver des sentiments forts pour elle. Les baisers que l’on échangeait ne faisaient que confirmer ce que je ressentais pour cette femme. Elle m’attirait, m’obsédait, me tourmentait. « J’aime beaucoup te déconcentrer » murmurais-je avant de la mettre en garde concernant mes limites. Je voulais bien être gentleman mais je n’étais pas un grand fervent de l’amour platonique. Quand je désirais une femme, j’appréciais d’aller jusqu’au bout avec elle surtout quand je la sentais toute disposée à être satisfaite par mes soins. Un sourire amusé étira mes lèvres. « Mais le monsieur n’est plus un militaire justement. Je vais finir par croire que de nous deux, c’est toi qui regrette le plus que je ne porte plus le treillis » me moquais-je gentiment d’elle tandis que je marchais vers le canapé pour m’asseoir avec Octavia sur les genoux. « Je peux toujours essayer de résister. Je ne voudrais pas te donner l’impression d’être un homme faible après tout » rétorquais-je non sans reprendre ses lèvres dans un baiser langoureux. Mes mains elles, pouvaient à présent parcourir son dos et se faufiler sous son haut afin de toucher sa peau chaude et douce. « J’aime te tenir entre mes bras. J’aime t’embrasser, te toucher » lui confiais-je tandis que mes lèvres glissaient des siennes pour venir se poser au creux de son cou. « J’aime ton parfum, l’odeur de ta peau » soufflais-je tandis que je venais goûter cette peau délicieuse, du bout de ma langue, traçant une ligne imaginaire vers son épaule. « J’aime la saveur de ta peau sur ma langue et sur mes lèvres » continuais-je de murmurer alors que mes mains caressaient ses côtes, remontant lentement vers sa poitrine couverte de son soutien-gorge. « J’aime caresser tes courbes…. Dieu que tu es parfaite Octavia… Véritablement parfaite pour mes mains » lui soufflais-je alors que je prenais en coupe ses seins entre mes mains, les caressant au travers du tissu de sa lingerie.

“C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille magnétique qui a trouvé son pôle. ”.

Depuis que j'avais perdu Roan je n'étais tombé que sur des cons et donc je ne croyais plus du tout en l'amour et j'avais pu voir des hommes qui ne savaient plus avoir de respect pour les femmes, donc là oui je dois l'avouer, j'étais surprise de l'entendre me dire qu'il tenait à moi et qu'il ne jouerait pas avec moi. Je me disais que Leonidas ne devait pas bien connaitre Aiden, car il n'avait pas l'air d'être celui qu'il m'avait décrit, c'était tellement dur de remettre mes idées en place et que faire , il fallait que je prenne une décision mais très vite je n'écoutais plus du tout ma conscience raisonnable vu que je me retrouvais dans ses bras en train d'échanger un baiser langoureux avec lui et chaque baiser ne faisaient qu'amplifier les sentiments que je commençais à ressentir pour lui, j'avais envie de bien plus qu'une simple aventure, mais est-ce que je devais me laisser aller dans ses bras au risque de souffrir ensuite, impossible de répondre à cette question, ses baisers étaient bien trop enivrants. La preuve et il avait raison, j'étais totalement déconcentré, je ne pensais qu'à ses lèvres sur les miennes, mon corps contre le mien et mes mains poser sous son teeshirt pour découvrir son torse. " Je dois l'avouer, le treillis est mon point faible. " Je faisais un petit sourire en coin alors que je restais dans ses bras quand il partait s'asseoir sur le canapé. Je restais en califourchon son lui, mes mains poser sur son torse et mon regard plongé dans le sien. " Trop tard tu as déjà faibli face à moi. " Je faisais un petit rire, je me fichais totalement de le voir faible quand il était face à moi surtout si c'était à cause des sentiments qu'il pouvait ressentir pour moi. En sentaient ses mains dans mon dos un long frisson venait parcourir mon corps. Je fermais les yeux alors que je me laissais envouter par ses paroles et ses caresses, impossible de résister plus longtemps. En sentant sa langue sur ma peau je venais lâcher un soupire de plaisir. " Aiden... C'est moi qui suis totalement faible..." Car oui il était en train de toucher tous mes points sensibles alors que mon corps avait de plus en plus chaud. Je venais ouvrir les yeux en croisant son regard alors que je sentais ses mains remonter vers mes seins pour les prendre en main. " Aiden j'aime tes caresses, tes baisers c'est en train de devenir une drogue pour moi, ne t'arrête pas. " Je venais lui retirer son teeshirt en venant déposer des baisers dans son cou alors que mes mains venaient passer sur son torse. Je n'avais pas envie de quitter ses bras, je voulais y rester toute la nuit et voir plus. Ses caresses faisaient réagir mes seins et mais soupirent se faisait de plus en plus entendre. Mes lèvres venaient se rapprocher de son oreille pour venir lui susurrer. " J'aime sentir tes mains sur mon corps." J'y déposais des baisers en venant l'embrasser langoureusement, ma langue venait faire une danse endiablée avec la sienne alors que mon bassin se mouvait contre le sien.

“C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille magnétique qui a trouvé son pôle. ”.

« Cela tombe bien que j’ai conservé quelques treillis dans un garde meuble » la taquinais-je tout en allant m’asseoir avec mon précieux fardeau, sur le canapé. Je n’avais pas envie de la lâcher mais je craignais de l’amener avant tout dans sa chambre si nous continuions sur notre lancée. « Il faut croire que j’ai perdu une bataille mais pas la guerre miss Davis »murmurais-je tandis que mes lèvres butinaient son cou, mes mains elles, la caressaient, remontant lentement le long de ses côtes pour venir caresser et éprouver la rondeur de ses seins. Cela faisait un moment que je rêvais de pouvoir la toucher ainsi, de pouvoir sentir ses lèvres sur les miennes. Lors du bal, je m’étais justement fait violence pour ne pas l’embrasser comme le voulait la tradition car je savais que je n’aurais jamais pu me contenter d’un seul baiser. Or, ce qui se passait actuellement entre nous, c’était justement ce que je craignais : impossible d’arrêter. « J’en suis bien incapable » marmonnais-je alors que je levais les bras pour l’aider à m’enlever mon T-shirt. Je pouvais sentir ses mains sur mon torse, ses lèvres dans mon cou. Bon sang, j’étais au paradis et je n’avais qu’une envie : jouer avec l’ange que je tenais entre mes bras. Mes mains quittèrent brièvement ses seins pour venir attraper le bas de son haut afin de le lui enlever. Octavia ne tarda pas à reprendre mes lèvres dans un baiser langoureux auquel je répondais avec passion, ma langue se jouant de la sienne tandis que mes mains remontaient le long de son dos pour venir faire sauter l’attache de son soutien-gorge. Je fis exprès de ne pas le lui enlever, la laissant plus ou moins encore maîtresse de ce qui se passerait ou non par la suite. Toutefois, le besoin de la toucher était bien trop fort et mes doigts se glissèrent entre sa lingerie et sa peau afin de pouvoir reprendre ses seins en coupe, les malaxant pour mieux jouer avec ses tétons afin de les faire durcir. « Ta peau est si douce, j’ai l’impression que tu n’es pas réelle entre mes bras. C’est peut-être le cas. Je suis sûrement en train de rêver de toi sur mon bateau » me confiais-je entre deux baisers.

“C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille magnétique qui a trouvé son pôle. ”.

Je venais me mettre à rire alors qu'il m'assura qu'il avait encore des treillis chez lui, je faisais un petit sourire en coin en venant le fixer droit dans les yeux. " Hum je pense qu'il faudra que tu les ressortes pour être sûr qu'il t'aille encore. " Je continuais de sourire, il fallait bien l'avouer l'uniforme avait toujours été mon petit point faible et voir Aiden dedans serait un délice pour mes yeux. Je me retrouvais bien vite sur ses genoux en califourchon. En tout cas j'étais totalement faible face à lui, je n'arrivais même plus à réfléchir, c'était tout simplement impossible surtout quand je pouvais sentir ses baisers et ses mains sur mon corps ce qui me procurait beaucoup de frisson. Encore plus quand celles-ci venaient se poser sur mes seins, je fermais les yeux alors que des soupire de plaisir s'échappaient de mes lèvres. Je n'avais pas envie qu'il s'arrête, au contraire, je voulais sentir chaque baiser sur mon corps, ses mains parcourir chaque parcelle aussi et frissonner encore et encore comme maintenant. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas ressenti un tel bien être. Je venais lui retirer son teeshirt et mains venaient à la rencontre de son torse que je venais caresser tendrement. Il venait faire de même avec mon haut, je n'avais pas froid bien au contraire, je sentais le feu monter en moi et c'était lui qui était en train d'allumer cette flamme. Je venais l'embrasser langoureusement alors que nos langues répartissaient dans une danse endiablée faisant monter le plaisir en nous encore plus. Je sentais ses mains dans mon dos pour défaire mon soutien gorge, je faisais un sourire en coin en venant le retirer car j'en avais envie, je savais qu'on allait passer la nuit ensemble et j'avais envie de lui là maintenant. Un gémissement s'échappait de mes lèvres alors qu'il venait malaxer mes tétons qui commençaient à se durcir. Je venais déposer des baisers dans son cou avec douceur et passion. " Alors c'est un beau rêve..." Mes mains continuaient de parcourir son corps alors que mon bassin ondulait contre le sien. " Autant réaliser ton rêve jusqu'au bout. " Mes baisers venaient recouvrir son corps. " J'aime sentir tes mains sur moi et surtout j'aime ressentir ce plaisir qui monte en moi. "

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