Debrief dans l'ascenseur

“La compétence sans autorité est aussi impuissante que l’autorité sans compétence.”

“La compétence sans autorité est aussi impuissante que l’autorité sans compétence.”

“La compétence sans autorité est aussi impuissante que l’autorité sans compétence.”

“La compétence sans autorité est aussi impuissante que l’autorité sans compétence.”

“La compétence sans autorité est aussi impuissante que l’autorité sans compétence.”

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“La compétence sans autorité est aussi impuissante que l’autorité sans compétence.”

Le plaisir qui montait en moi de plus en plus intense et je me demandais depuis combien de temps on ne m'avait pas pris comme ça. Oh oui j'avais couché avec d'autres hommes et c'était loin d'être doux, mais là je ne sais pas, le plaisir était là et surtout c'était si différent, ce que je ressentais quand je croisais le regard de Makan était indescriptible. En fait si je comprenais très bien ce qui se passait mais je me voilais la face pour ne pas me l'avouer. Mais cet homme était clairement en train de me faire ressentir des sentiments que je pensais oublier. Il y allait avec tellement de fougue en moi et de puissance, mes gémissements qui se faisaient encore plus entendre et ses paroles qui me rendaient encore plus dingue, ce surnom, la première fois qu'il m'appelait comme ça. " Tu me rends dingue... Makan... " Surtout quand il venait mordiller mon oreille, ça me mettait dans tous mes états me procurant des décharges électriques dans le corps. Son corps venant prendre possession totalement du bien, je n'allais pas tenir bien longtemps et il voulait que je vienne pour lui et c'est ce qui allait se passer, je n'arrivais plus à me retenir alors que je venais dans un cri de plaisir, mon corps venant se contracter de partout."Makan..."Mes mains dans son dos et surtout mes ongles qui venaient s'y enfoncer tellement que le plaisir était intense et en plus il prolongeait les coups de reins ce qui intensifiait l'orgasme qui était vraiment énorme. Et peu de temps après, il venait en moi alors que je répondais à son baiser avec beaucoup de passion. Reprenant mon souffle en posant ma tête contre le sol en regardant le plafond, au moins je n'avais plus peur du tout. On avait fait une grosse connerie, mais le plaisir que j'avais ressenti était encore là et impossible de redescendre tout de suite. Je venais croiser son regard en faisant un léger sourire. " Euh oui... Je crois et toi? " Mon regard plongeait dans le sien sans le quitter. Une fois qu'il c'était allonger près de moi je venais m'asseoir en réalisant ce qui venait de se passer, l'euphorie redescendait bien trop vite et pourtant c'était une belle erreur, mais tellement bonne, je ne regrettais rien. Je regardais dans le vide en passant une main dans mes cheveux. " On a fait une erreur... Mais... Je ne regrette pas. " Je venais tourner le visage vers Makan croisant son regard, cet homme venait de faire s'ouvrir quelque chose en moi que je pensais enfoui depuis des années.

“La compétence sans autorité est aussi impuissante que l’autorité sans compétence.”

La jouissance avait été à la hauteur de notre corps à corps à savoir imprévisible, puissante et bouleversante. Le souffle court, je me laissais tomber sur le dos, à ses côtés. Je ne touchais pas encore terre, toujours sous les effets de la dopamine. Je n’avais pas connu un tel plaisir auprès d’une femme et c’était un peu frustrant de se dire que je ne le connaitrais plus jamais étant donné que nous venions de faire, était une grosse connerie. Je ne savais pas vraiment quoi dire si ce n’est m’enquérir de son état. Je n’y étais pas allé de main morte avec elle mais Thalya avait semble-t-il apprécié le traitement puisqu’elle m’en avait redemandé. « Je vais bien » répondis-je en plongeant mon regard dans le sien. Nous étions encore nus, sur le sol de cet ascenseur. Mon corps était moite et une bonne douche ne me ferait pas de mal. Au moins, nous pouvions mettre notre transpiration sous le compte de la chaleur qu’il faisait dans cette machine de malheur. Elle se redressa en position assise et j’hochais la tête. « Moi non plus mais cela ne doit pas se reproduire. Jamais » rétorquais-je en me passant rapidement une main sur mon crâne rasé. Je détournais le regard à la recherche de mon boxer et l’attrapais. « On ferait mieux de se rhabiller » ajoutais-je en joignant le geste à la parole. « Je dois te dire que normalement, je ne couche pas avec mes subordonnées. C’est la première fois que cela m’arrive » tenais-je tout de même à lui dire car je ne voulais pas qu’elle s’imagine que je m’amusais à coucher avec toutes les femmes sous mes ordres. Quelque part en moi, je ne désirais pas qu’elle ait une mauvaise opinion de ma personne. Je me relevais pour enfiler mon pantalon ainsi que ma chemise. Mon uniforme était froissé mais ce n’est pas comme si, j’allais tenir mon engagement pour la réunion. J’étais en retard d’une bonne heure ! « Il vaudrait mieux qu’on oublie ce qui vient de se passer même si je reconnais, c’était très agréable »

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