Ma famille mon refuge - Katherine and Adam

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Je ne savais pas du tout ce que je pouvais bien sur dire a ma fille de ce que je voyais. Parce que je voyais pas grand chose a part un homme beaucoup plus grand que moi et aussi qui avait des yeux bleue claire. Je ne savais pas du tout quoi dire présentement. Je fini donc par dire.

- Je n'ai pas grand chose a te vous dire la dessus . Tout ce que je vois c'est un homme en fin je présume que c'est un homme , car tout ce que je vois c'est une silouhette noir avec des yeux bleu claire et qui est beaucoup plus grand que moi. Je reconnais également les couleurs du plancher de l'école ou j'allais enfant , mais je ne comprend pas la signification de tout cela.

Je ne comprenait pas du tout la signification de cette histoire. Je ne comprenait pas du tout ce que je pouvais avoir bien vécu durant mon enfance pour complètement tout oublier cela. Je regarda alors la jeune femme sans comprendre ce qui se passait présentement. Je faisait un peu les choses machinalement. Je ne savait pas du tout quoi faire. Est-ce que je devais lui en parler ou non. Parce que c'était vraiment différent pour moi de ne plus du tout quoi faire présentement.

Je regarda alors la photo qui se trouvait a mes côtés. Je ne savais pas du tout pourquoi lui. Pourquoi le jeune homme s'en prenait avec moi. Je ne savais pas du tout ou je pouvais trouver quelque chose qui pouvait m'aider a trouver ma réponse. Je regardais alors autour de moi. Je fini par me mettre a rire alors que ma fille venait de dire qu'elle pouvait revenir a la maison même si elle serait surement traumatisé si elle nous trouvais au lit son père et moi. Je fini par dire alors a ma file.

- Tu peux revenir ici tant que tu veux ma princesse et nous tâcherons de ne pas trop te traumatisé.

Dis-je en regardant ma fille. Je ne savais pas du tout que en fait ma fille vivait a la maison depuis quelque temps. Depuis mon absence je manquait pas mal de truc. Je n'avais pas sut ce que ma fille avait vécu depuis la mort de son frère. Et mon mari avait tellement été super avec moi depuis que Nicholas était partie. Je fini donc par dire alors spontanément.

- Merci a vous deux. Merci d'avoir été la pour moi.

Je ne savais pas du tout pourquoi je leur disait cela , mais j'avais besoin de leur dire merci. Puis je me servis une crêpe moi aussi. Je fini donc par moi aussi manger. Puis mon mari me dit que les crêpes étaient toujours aussi bonne. J'avais vraiment envie de cuisiner , mais depuis quelques temps je m'étais remis a la cuisine. A l'hôpital d'ailleurs ils nous faisait faire des tâches et je m'occupais souvent des repas c'était le seule moment ou je pouvais ne plus du tout pensé a mes problèmes que penser a ce que je faisais. Et cela me vidait l'esprit.
 

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Katherine affichât une moue clairement amusée en regardant son père. Discrets ? Toujours ? Elle n’était pas très sûre de cette information.

_ « Je ne suis pas certaine de pouvoir te rassurer en disant que vous avez toujours été discrets parce que ce serait vous mentir. Je me souviens très bien vous avoir surpris une fois quand j’avais quoi ? Hum 12 ou 13 ans. C’était la seule fois où je m’étais amusée à sécher les cours car je n’avais pas envie d’aller en sport. Eh bien, crois-moi, ça a été la dernière fois où j’ai osé rentrer plus tôt à la maison. J’ai même eu du mal à m’asseoir sur le canapé durant des mois » dit-elle avant d’éclater de rire.

Ce souvenir était « agréable » car cela lui rappelait l’époque de son enfance où ses parents s’étaient remis ensemble. Elle avait eu de la chance car peu de ses camarades avaient vu leurs parents se rabibocher après un divorce. Elle, oui. Katherine se tourna vers sa mère, songeuse.

_ « Pour en revenir à ce que tu vois, tu n’as jamais songé à faire des séances d’hypnose ? Il parait qu’il y a de bons résultats » lui dit-elle.

Katherine laissa un silence s’installer, le temps pour elle de croquer dans sa crêpe mais elle reprit très vite la parole.

_ « En tout cas, je prends note de votre autorisation à venir vous squatter. Oh j’ai complétement oublié de vous dire : j’ai réussi à me trouver une nouvelle colocataire ! ça date de quelques jours. Elle est avocate ! Cela me changera de ma dernière colocataire. Au moins elle, je suis certaine qu’elle paiera le loyer » s’amusât-elle à dire.

La jolie brune se penchât vers sa mère pour déposer un baiser sur sa joue. Elle aussi ça lui faisait du bien ce petit moment familial.