Ma famille mon refuge - Katherine and Adam

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Cela faisait un moment que j'étais hospitalisé et que j'étais pas sortie de l'hôpital. Aujourd'hui pour la saint-valentin j'avais le droit a ma première sortie de l'hôpital pour quelques jours. J'avais tout le weekend en fait en liberté. J'avais donc décider d'aller a la maison. J'avais besoin de me retrouver en famille avec ma fille et mon mon mari. J'aurais aimé que Nicholas soit encore la, mais je réalisait maintenant qu'il ne reviendrait pas. Disons que je n'avais pas envie de me retrouver ailleurs que la présentement avec ma famille. J'étais donc arriver hier soir a la maison. Je n'avais pas trouver facilement le sommeille , mais j'avais réussie a le trouver. J'avais vraiment hâte de retrouver ma fille. Je ne voulais pas du tout la forcé a venir a la maison durant ce weekend. Elle avait peut-être quelque chose de prévue ce weekend. Je me demandais bien se que nous allions pouvoir faire ce weekend. Je me trouvais bien présentement allonger dans mon lit avec mon mari près de moi. Je regarda alors Adam qui dormait encore. Je fini donc par me rapprocher de lui et de déposer doucement ma tête sur son   épaule.

J'étais vraiment bien présentement. Je n'avais pas du tout envie d'être ailleurs. J'avais même envie de dire a mon médecin que je voulais rentré a la maison. C'était vraiment ce qui avait de plus de génial et de plus relaxant pour moi d'être la avec maison que cette chambre d'hôpital. Disons que je ne dormais plus beaucoup a l'hôpital. Avec tout ces cris la nuit. Et oui beaucoup de patient a l'hôpital criait la nuit. C'était vraiment ce qui avait de plus difficile pour moi de dormir. Je regarda alors autour de moi pour profité de chaque seconde. J'étais vraiment heureuse de pouvoir profité du temps avec lui... Quand soudainement la porte de la chambre s’entrouvrit alors quand je me rendis compte que quelqu'un passait la porte je fini simplement par dire pas trop fort pour ne pas réveiller Adam.

- Katherine ?

Dis-je avec le sourire. J'espérais vraiment que c'était ma fille qui venait d'entré dans la chambre. Disons que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas du tout fait cela venir dans notre chambre se réfugier dans notre lit. Elle le faisait petite lorsqu'elle avait fait un cauchemars ou simplement le matin lorsqu'elle et Nicholas était réveiller ils venaient petit nous réveiller en se blottissant contre nous.
   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Sarah-Lou avait finalement obtenu un billet de sortie de l’hôpital et c’est avec enthousiasme que Katherine avait accueilli la nouvelle. Elle avait l’impression que cela faisait une éternité qu’elle n’avait pu réellement serrer sa mère entre ses bras. Avec ses soucis, elle s’était tenue éloignée volontairement de sa mère pour ne pas l’inquiéter mais elle avait tout de même gardé un contact téléphonique aussi fréquent que possible. Il y avait des choses bien plus faciles à masquer au téléphone que de visu. La jolie vétérinaire n’avait pas osé avouer non plus à sa mère, qu’elle habitait limite à nouveau sous le toit familial car elle ne voulait pas lui apprendre qu’Adam vivait mal son absence. Il faut croire que dans la famille Wheeler, les mensonges ou plutôt les omissions étaient devenues monnaie courante afin de protéger Sarah-Lou. Néanmoins, ce fut assez tard que Katherine rentra à la maison ce soir-là. Elle était sortie pour oublier un certain jeune homme de sa connaissance. Malone l’obsédait de plus en plus au point qu’il lui arrivait de rêver de lui certaines nuits. Elle avait honte de ce penchant. Cet homme n’était pas pour elle, il ne ferait que la faire souffrir et pourtant, elle ne pouvait empêcher les battements de son cœur de s’emballer aux souvenirs de leurs baisers ou encore de leur nuit de débauche. Elle était sous le charme et elle détestait cela. Pourquoi son cœur persistait à suivre cette mauvaise direction ? N’avait-elle pas retenue la leçon ? Katherine souhaitait vivre le même bonheur conjugal que ses parents mais elle était persuadée que ce ne serait pas aux côtés de Malone. Il était trop lui. Pourquoi changerait-il ? Pour elle ? Elle n’avait la prétention de valoir cet effort.

Le matin arriva bien vite et elle se surprit à se réveiller d’une humeur un peu maussade. Une humeur qui s’effaça rapidement car une petite idée/envie s’infiltra dans son esprit. Katherine repoussa les couvertures et enfila rapidement un short et un débardeur pour mieux se glisser dans le couloir. Elle pouvait presque se rendre dans la chambre de ses parents, les yeux fermés. Combien de fois, enfant, s’était-elle glissée au petit matin entre ses deux parents ? Un certain nombre de fois. Aujourd’hui, elle ne ferait pas exception, qu’importe qu’elle ait presque une trentaine d’années. Dans le fond, c’était une grande gamine. La voix de sa mère la fit sursauter.

_ « Oui c’est moi. Tu ne dormais plus ? » s’inquiétât-elle de réveiller sa mère.

Avec précaution, Katherine grimpât à quatre pattes sur le lit pour venir se blottir dans les bras de sa mère. Oh comme elle aimait cette sensation d’amour et de tendresse.

_ « Bonjour m’man » lui dit-elle en déposant un baiser sur sa joue.
   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Je me sentais bien présentement avec ma famille. J'aimais vraiment pouvoir me retrouver comme cela présentement dans les bras de mon mari et avec ma fille prèes de moi. Je me sentais vraiment a la maison et je sentais maintenant que j'avais de la force pour pouvoir reprendre le dessus sur cette histoire. Ma fille et mon mari était la pour m'aider. disons que je me sentais vraiment mieux que je pensais présentement. J'avais eu l'impression avant d'arrivé que j'allais replonger une fois que je m'aurais retrouver ici , mais ce n'était pas du tout le cas. En fait pas pour le moment. Je m'étais réveiller quelques minutes avant que Katherine entre dans la chambre. Lorsqu'elle était entré j'avais tout de suite dit son nom pour être sur que c'était bien elle qui entrait dans la chambre. Lorsqu'elle me répondit et me demanda si elle m'avait réveiller. Je fini donc par lui dire.

- Cela fait pas longtemps que je suis réveiller , mais ce n'est pas toi qui ma réveiller ma chérie. J'étais déjà réveiller.

Dis-je avant de lui faire une place près de moi et de la prendre dans mes bras comme elle le faisait petite. Je fini donc par l'embrasser sur le front comme je le faisait toujours. Puis Adam fini par ce réveiller. Je souris, j'étais vraiment heureuse de pouvoir passé du temps avec eux et de pouvoir être a la maison.

- Bonjour ma chérie.

Dis-je avec le sourire. J'étais vraiment bien présentement. Puis je vis que mon mari était réveiller. Je fini par lui dire....

- Je crois bien , car ont vas finir par dormir sur le plancher si sa continue.

Dis-je avec le sourire avant de me mettre a rire et de chatouiller un peu ma fille pour la faire réagir. Je fini donc par l'embrasser tendrement sur la joue. Puis mon mari parla de quelque chose avec ma fille. Je ne savais pas du tout de quoi ils voulaient me parler. Je ne savais pas du tout ce qui c'était passé avec ma fille durant ses derniers mois. En fait , j'étais vraiment absente dans toutes les sens du terme ces dernier temps.
   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Il était bon de retrouver la douceur des bras de sa mère. Katherine n’avait pas pris conscience de combien cela lui avait manqué et combien il était agréable de se reposer sur quelqu’un d’autre. Tous ses problèmes et ses peurs s’envolaient quand elle se trouvait dans ce lit, comme quand elle était petite. On avait beau pester contre ses parents de temps en temps, leur sécurité nous apportait un tel réconfort.

_ « C’est une bonne idée p’pa ! Pour ton anniversaire, je t’achète un lit king size comme ça, je vais pouvoir dormir avec vous » pouffât-elle.

Elle terminât même par éclater de rire quand son père se mit à la chatouiller. C’était un coup bas car il savait combien elle était sensible aux chatouilles.

_ « Pitié… arrête… je me rends » lui dit-elle entre deux crises de fous rires.

Un baiser sur sa joue conclût cette séance de chatouilles qui la laissât un peu essoufflée. Elle n’avait pas rit comme cela depuis des mois et cela faisait un bien fou. Adam enchainât sur ce qu’ils avaient parlé quelques jours plus tôt et elle hochât la tête avant de se tourner vers sa mère.

_ « Avec p’pa, on voulait prendre un peu de vacances en dehors de la Nouvelle-Orléans. On s’est dit que cela nous ferait du bien à tous les trois de nous retrouver en famille loin de la maison ou même de la ville. Qu’est-ce que tu en penses ? On pourrait se louer un chalet ou un appartement et jouer les touristes ou simplement les flemmards le temps d’une semaine de vacances »

   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Pour le moment le fait de quitté complètement l'hôpital faisait que j'avais peur de me retrouver seule et de ne plus avoir quelqu'un pour pouvoir être la quand j'avais besoin d'être pousser . Oui mon mari le faisait et c'était grâce a lui que j'étais la maintenant , mais je ne pouvais pas du tout parler de certain sujet avec lui. Mais pour le bien de ma famille et le mien je devais dire oui. Ma fille devait s'être rendu compte que j'avais un peu paniqué. Mais, je m'était rapidement ressaisie. Dernièrement j'avais commencer a parler avec mon psychiatre de mon enfance , j'en avais pas grand souvenir et ont commençait a aller de plus en plus loin.

Mais disons que je n'aimais pas du tout parler de mon enfance et je ne savais pas du tout pourquoi. Mais j'allais bien sur connaitre le pourquoi bientôt. Je n'avais aucun souvenir de mon viole , mon procès contre ce mec.... bref tout ce qui m'avait vraiment pousser a être comme je suis présentement. Je regarda alors ma fille et mon mari et je fini par dire.

- Oui cela est une bonne idée.

Mon mari allait surement voir que cela me stressait un peu quand même. Mais cela était pour mon bien je ne pouvais pas rester enfermer , comme je le faisais avant d'être traité a l'hôpital. Je me demandait bien sur que mes proches allait dire a ma réaction a ce qu'il venait de dire. Je savait que cela me stressait , mais devait le faire. Sa me fera du bien. Et je n'aurais surement pas de crise de panique encore lorsque je serait la comme la dernière fois.  
   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Nicholas n’était peut-être plus là physiquement mais Katherine avait l’agréable impression qu’il était présent dans cette pièce tant le bonheur était au rendez-vous. Il était si bon de retrouver la douceur des bras maternels, de pouvoir rire à nouveau sans ressentir la moindre culpabilité. La jolie brune se sentait bien, détendue parce qu’elle avait enfin ses parents, réunis. Sa mère n’était pas encore soignée, elle avait encore un long chemin mais Katherine avait confiance. Sa mère était forte et puis, son père et elle-même veillaient sur elle.  

_ « Un grand et solide, je prends note. Tu sais que j’en suis capable n’est-ce pas ? » taquinât-elle son père en lui tirant la langue.

La petite famille enchainât rapidement sur le projet que le père et la fille avaient fomenté dans leur coin. Katherine était fière d’avoir eu cette idée mais son plaisir se teintât d’inquiétude en voyant sa mère paniquer légèrement. Elle se serrât un peu plus dans ses bras, déposant un baiser sur sa joue.

_ « On va trouver le lieu idéal pour nos petites vacances. J’irais bien dans le colorado avec toutes ses forêts, son calme etc. Cela pourrait être génial de pouvoir faire du camping. Un retour à la nature. J’ai lu dans une étude scientifique que cela pouvait aider à se sentir mieux, à se recentrer sur nous-même » tentât-elle de montrer les choses sous le meilleur angle possible afin que sa mère se rassure.

   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Je me demandais maintenant ce qui pouvais bien me faire sentir mal. J'étais vraiment entrain de revenir dans mon passé présentement. Je ne pouvais pas du tout pour le moment commencer  a comprendre ce qui se qui c'était passé dans ma vie passé pour comprendre ce qui me mettais dans cette état maintenant. Je ne voulais pas du tout bouger présentement. Mais il fallait que j'aille au toilette et je reviens au lit après. Je regarda l'heure, comme a tous les matins je devrais prendre ma glycémie. Alors en revenant je prit mon appareille a glycémie avec moi. Il était dans mon sac a main qui était sur ma coiffeuse.  Je ne pouvais pas passé une journée sans prendre ma glycémie et aussi sans manger. Maintenant je le savais et je faisait tous pour pouvoir avoir une meilleure santé.

- Sa peux être bien le Colorado , j'aime bien ce petit coin de pays . Mais s'il-vous-plait pas de camping dans une tente... Vous savez a quel point je déteste le camping sous une tente...

dis-je a ma famille pour leur rappeler a quel point je n'aimais pas du tout dormir sous une tente. Je l'avais fait avec mon mari au début de notre relation et cela n'était pas du tout le meilleure moment que nous avons vécu... Mais bien le plus drôle en fait. Je fini donc par lui dire a mon mari lorsqu'il demanda si nous avions prévue faire quelque chose aujourd'hui.

- Pour ma part rien a part d'être avec vous deux.

Dis-je avec le sourire. Avant d'embrasser ma fille sur le front et d'embrasser mon mari. Je me souvenait d'un moment avec Nicholas et Katherine... Les deux étaient venue nous rejoindre dans le lit au petit matin et lorsque Adam m'avait embrasser devant les deux avaient fait instantanément la grimace et tout le monde c'était mit a rire. Je regarde alors ma fille avec le sourire.

- Tu aurais envie de faire quoi ma chérie ?

Dis-je avec le sourire. Je voulais que ma fille choisisse notre programme pour la journée. Je fini donc par regarder alors mon résultat de glycémie et tout était normale. Je pouvais attendre un peu pour manger.