Ma famille mon refuge - Katherine and Adam

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Katherine était aux gens que son idée de destination plaise autant à son père qu’à sa mère. Elle avait déjà hâte de s’éloigner avec eux, de la Nouvelle-Orléans. Son cœur finirait certainement par calmer le jeu avec Malone. La distance aiderait, elle en était certaine. Sa tête avait toujours dicté sa conduite, elle n’était pas encore prête à changer même si, comme tout le monde, elle rêvait d’avoir quelqu’un pour partager sa vie. Le problème c’est que son cœur avait un penchant pour le mauvais choix.

_ « Génial ! Je suis heureuse que cela vous plaise. Ne t’inquiète pas  m’man, je comptais louer un petit chalet près d’un lac comme ça, on pourra se promener, profiter du calme ambiant et surtout, pêcher. Cela fait une éternité que je n’ai pas pêché » s’enthousiasmât-elle.

Son père avait tout de même raison, il fallait s’attendre au pire avec la jolie brune surtout quand elle avait une idée derrière la tête. Le couple pouvait donc s’attendre à avoir une livraison d’un lit king size dans les prochaines semaines car elle appréciait bien trop de se prélasser dans leur lit, en leur compagnie. Cela faisait du bien de redevenir une gamine de temps en temps surtout après tous ces drames.

_ « Alors si je dois choisir, je dirais que l’on pourrait sortir se promener ? J’ai envie d’adopter un chien et j’ai besoin que vous m’aidez à ne pas ramener tous les chiens du refuge. Qu’est-ce que vous en pensez ? Vous m’aidez à choisir votre petit-fils à poil ? Je veux un mâle » proposât-elle avec un regard rieur.


   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Le simple geste de prendre ma glycémie était rendu tellement normalement pour tous les membres de ma famille que personne en faisait état quand je le faisais. Je regardas alors ma fille qui était près de moi et je regarda aussi mon mari. J'étais vraiment heureuse de pouvoir passé le plus de temps possible avec eux. Je ne voulais pas du tout retourner ailleurs que la avec eux. Je regarda autour de moi. Je me sentais beaucoup mieux ici qu'a l'hôpital. Plus rien ne me faisait aussi peur. Je ne voyais plus mon fils partout. Je m'étais même mit a chantonné chose que je n'avais pas fait depuis longtemps. J'avais souvent quelque mélodies dans la tête. Je me sentais mieux. Mais est-ce que cela était vraiment le cas. Il me restait tellement de moment de ma vie a revoir avec mon psychiatre. Je fini par dire alors a tout de le monde.

- Alors je sais pas s'il y a juste moi , mais je resterais coucher toute la journée avec vous ... Mais, nous devons nous lever et manger un peux si tu veux qu'on réalise ce que tu veux faire aujourd'hui.

Dis-je avec le sourire. Avant d'embrasser ma fille sur le front. J'étais vraiment heureuse présentement et cela se voyais... Je n'avais pas remarquer non plus comment était mon look assez ridicule présentement. J'avais encore comme pyjama une vieille chemise d'Adam que j'avais depuis de nombreuse années et qui me faisait me sentir mieux quand il était loin de moi et j'avais aussi les cheveux complètement en bataille. Il fallait que je prenne une douche avant de partir. Il y a quelques temps cela ne m'aurais pas du tout déranger , mais je n'étais plus dans cette état.

J'étais vraiment bien présentement a ce moment la je retrouvais bien sur mon univers et mes repères. Je pris alors mon téléphone et discrètement je voulais prendre se moment en photo pour me souvenir de ces moments quand j'avais un immense moment ou je broyais du noir... Ce qui arrivait encore souvent. Je ne pouvais pas toujours avoir tout ce qui était parfait. Mais je n'avais pas montrer a personne , mais depuis quelques temps je gardais dans mon sac a main un cahier ou je notais tout ce qui me trottait dans la tête. Et il y avait beaucoup de parole de chanson , quelques accord de guitare, certaine gamme au piano... Mais je ne montrait rien a personne , car j'avais beaucoup trop honte de ce que j'écrivais. Mais je savais qu'un jour quelqu'un allait bien sur tomber sur mon cahier...

Lorsque ma fille me parla de pêcher je fit la grimace. Car tout le monde le savait que je détestais ce genre de chose... Surtout pas a cause du poisson en tant que tel , mais bien a cause de l'eau. j'étais aquaphobe et cela depuis toujours. J'avais tellement peur de me noyer a chaque fois que je ne touchais pas le sol alors que j'étais a l'eau faisait que je me mettais a paniquer. Je suis une femme assez étrange.... Vous le pensez vraiment , mais je le suis. J'ai juste tellement vécu dans mon enfance qui mon détraquer la mémoire que j'ai tellement peur que tout refasse surface un jour....

Mon viole était un événement que je cachait un plus profond de moi. Mais les flash commençait a me revenir. Et je détestais cela. Lorsque Adam voulut m'embrasser je fut surprise ce qui fini par me faire revivre un souvenir. Mon coeur s'accéléra et ma respiration devenait plus difficile... Je me mit alors a trembler sans même m'en rendre compte. Je poussa légèrement Adam , pas parce que je ne voulais pas l'embrasser , mais bien parce que ce que je voyais n'étais pas du tout ce qui se passait vraiment. J'avais l'impression qu'on me poussait de nouveau contre se mur de cette étrange classe ou il n'y avait aucun élève , mais que mon professeur était rester pour m'aider a placer les pupitres pour la prochaine période. Je m'étais fait mal a la cheville ce jour la et je n'allais pas a la récréation et attendait mes parents dans ma classes , car il n'y avait pas d'ascenseur et mon père devait me porter dans les escaliers pour que je puisse sortir de l'école avec mes béquilles. Je me souvenait de tout cela maintenant , mais pas de l'homme qui était tapis dans l'ombre depuis tant d'année.
   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Katherine se sentait si bien à cet instant précis, comme si tout reprenait sens dans sa vie. Certes, son petit frère n’était plus à ses côtés mais au fond de son cœur, elle pouvait encore entendre son rire et le son de sa voix. Elle voulait croire que tout irait bien pour eux à présent. Elle avait besoin d’y croire et se lancer à cœur perdu dans ce projet de vacances, c’était le premier pas vers la guérison pour leur famille.

_ « Tu entends ça m’man ? P’pa a bien décidé de se tourner les pouces pendant les vacances. Si on ne fait rien pour l’arrêter, on va devoir tout gérer à sa place. Tu parles d’un patriarche » se moquât-elle de son père avec un grand sourire.

La jolie brune était tout de même parvenue à glisser une idée d’occupation : se trouver un chien. Elle ignorait si sa colocataire approuverait la démarche mais Katherine était bien décidée à réaliser un de ses rêves quitte à devoir se chercher un autre appartement.

_ « Tu sais bien que tu es la voix de la sagesse mon papa. Par contre m’man, je ne dirais pas non, non plus à rester au lit toute une journée. J’adhère à tes plans mais comme tu l’as si bien dit, il faut qu’on se bouge. Allez, on se lève » donnât-elle le signal de départ.

Katherine s’extrayait du lit et allait quitter la chambre de ses parents quand elle se rendit compte de l’absence de réaction de sa mère. Son sourire quittât son doux visage quand elle vit l’expression sur celui de sa mère.

_ « M’man ? Tout va bien ? Papa, qu’est-ce qui se passe ? » s’inquiétât-elle aussitôt.
   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Je me demandais comment j'allais pouvoir sortir de ce retour en arrière , mais disons que je n'avais pas du tout prévue revivre ce moment la. Je me revoyais enfant avec un homme qui se penchait sur moi. Mais je  sortie rapidement de cette vision. Je ne savais pas du tout pourquoi j'avais ce genre de vision. Lorsque ma fille m'appela je fini par revenir a moi.... Je ne savais pas du tout ce qui venait de se passé. Je fini par faire comme si de rien était pour ne pas l'inquiété. De toute façon je ne pouvais pas vraiment leur dire ce qui ses passé , car je ne voyais pas grand chose dans se flash back et je ne le comprenait même pas. Je ne me souvenait plus du tout de ce que j'avais vécu dans mon enfance alors comment leur raconter. Mon psychiatre me faisait revivre des passages de mon enfance grâce a l'hypnose c'était le seul moyen de débloquer une partie de mon cerveaux.

- Pardonner moi, j'étais partie dans mes pensées.

Dis-je en me redressant finalement dans le lit , pour pouvoir m'en sortir. Je ne savais pas du tout ce qui venait de se passé. Disons que je me demandais vraiment ce qui pouvais avoir provoquer cette absence.

- Nous étions pas entrain de partir pour la cuisine ? Est-ce que vous voulez que je vous prépare ma recette secrète de crêpe ?

Je ne voulais pas du tout inquiété personne donc je voulais tout cacher se qui se passait dans ma vie pour le moment comme je ne comprenais pas moi même se qui se passait. Car disons que j'avais vraiment besoin d'en parler a mon psychiatre j'allais bien sur l'appeler au courant de la journée. Pour voir son avis sur le fait de me mettre a avoir d'étrange image simplement en embrassant mon mari et en ayant ma fille dans mes bras. J'avais tellement peur de ce qui m'arrivait. Je ne voulais pas du tout avoir de nouveaux des Hallucinations. J'allais vraiment gardé un oeil la dessus. Dis-je avant de me lever et de partir avec ma famille vers la cuisine. Pour tout préparer pour leur faire ma célèbre recette de crêpe. Juste pour eux. Je souriait maintenant et j'étais vraiment heureuse d'être avec eux.

- Katherine ma chérie tu veux quoi sur ta crêpe ?

Dis-je avant de l'embrasser sur le front et de finir par me retourner vers ce que je faisais pour préparer la crêpe de ma fille. Puis j'allais servir mon mari et je savais très bien ce qu'il voulait dessus.
   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Katherine était inquiète face à la non-réaction de sa mère et un coup d’œil à son père lui apprit qu’il était dans le même état d’impuissance qu’elle. Que se passait-il ? tout allait bien et d’un coup, sa mère était plongée dans ses pensées, comme prisonnière de son subconscient. La vie était tout de même injuste avec leur famille. Les Wheeler n’avaient jamais rien demandé à personne, ils étaient même plutôt sympathiques mais dernièrement, le sort s’acharnait sur eux.

_ « Tu es sûre que tout va bien m’man ? » demandât-elle mais celle-ci était déjà partie dans son idée de faire des crêpes.

La jolie brune se tournât vers son père pour échanger un regard avec lui, qui signifiait sans nul doute : qu’est-ce qu’elle nous cache ? Katherine espérait que tout irait bien. Elle n’avait pas du tout envie que sa mère reparte en clinique. A ses yeux, sa famille était le seul remède à ses maux. Elle décidât de laisser aller pour cette fois, se dirigeant vers la salle de bain histoire de prendre une bouche douche. Elle se vêtit d’un jean ainsi que d’une chemise à motif écossais avant d’attacher ses cheveux en une queue haute. Puis, elle rejoignit ses parents dans la cuisine où une bonne odeur lui donnât l’eau à la bouche.

_ « Hum de la confiture de fraise avec de la chantilly s’il y a mais je peux me contenter de la confiture » rigolât-elle avant de déposer à son tour, un baiser sur la joue de sa mère. « Qui veut un verre de lait ? »

   

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Je ne savais pas du tout ce que j'allais pouvoir faire pour passer par dessus ses flash back. Que je ne comprenais pas vraiment pour le moment disons que pour moi tout cela n'avait aucun sens. Si ma mes parents etaient la ils auraient pu m'aider dans cette quête de la vérité , mais ils n'étaient pas la pour m'aider a comprendre. Disons que j'avais peur de ce que j'allais pouvoir trouver de l'autre côté de ses barrières. Je regarde alors ma fille et mon mari.

Lorsque ma fille me demanda si j'étais sur de bien aller je fini par dire alors.

- Je vais bien ne t'inquiète pas ma chérie. Ces juste que avec mon psychiatre nous avons commencé a parler de mon enfance et vous savez que je ne me souviens plus du tout de mon enfance....

Dis-je en regardant ma fille et en regardant mon mari également.  Je ne savais pas du tout si je devais lui dire qu'il m'arrivait maintenant d'avoir ces petites visions de ce qui ses passé. Je regardais alors ma fille et je fini par lui dire.

- Depuis une semaine, il m'arrive de revoir ces petites brides de moment que j'ai vécu sans savoir pourquoi et ce qui les provoque.

Dis-je en regardant ma famille. Je ne savais pas si j'allais lui parler un jour de ce que j'avais vraiment vécu si ce que j'avais vécu était grave. Mais si elle faisait une recherche  avec ,mon nom sur le web les article traitant sur mon viole était bel et bien la et on me voyais enfant sur l'un d'eux.

Je ne voulais pas du tout que l’on reste sur le fait que je voyais un homme plus vieux que moi ce penchée sur moi. Mais pour le moment je faisais que faire les crêpe pour ma famille. Je fis donc celle de ma fille et je fini par dire.

- Bien sur que je sais ce que tu veux sur la tienne mon chéri.

Je savais très bien depuis la première fois que j'avais fait des crêpes pour Adam. Depuis je m'en souvenait de ce qu'il voilait. Une fois terminée de servir tout le monde je fis ma crêpe et je m'installe avec eux a la table.
 

Ce n'est quand famillle que nous pouvons vraiment nous ressourcé.

Katherine était la tête dans le frigidaire pour trouver sa confiture de fraise ainsi que sa chantilly quand sa mère se décidât à leur parler de ce qui se passait. Sa fille l’observât en silence, n’osant l’interrompre un seul instant. Cela ne devait pas être facile pour sa mère de parler de son enfance surtout qu’elle n’en avait aucun souvenir. Pour avoir eu un tronc commun de médecine durant ses années universitaires, Katherine n’était pas surprise de ce fait. Le cerveau humain était capable d’occulter bien des choses pour se protéger. Une sorte de mécanisme de défense seulement la vétérinaire craignait que le retour de ses souvenirs ne la fragilise qu’un peu plus. Est-ce que sa mère serait en mesure de les supporter ? Elle semblait si bouleversée tout à l’heure quand elle avait eu son absence. Katherine était donc inquiète pour sa mère mais elle s’efforçât de lui sourire.

_ « Nous serons là pour t’aider à y faire face alors n’hésite jamais à nous en parler d’accord maman ? Et puis au pire, je peux revenir habiter ici comme ça, je finirais traumatisée à vie de voir mes parents copuler comme dans leurs anciennes jeunesses » choisit-elle l’humour pour dédramatiser la situation et surtout, se donner du courage.

La jolie brune craignait tellement pour sa mère mais également pour son père. Ce dernier en avait supporté ces dernières semaines et elle voulait que tout se passe bien. La famille avait besoin de reprendre des forces.

_ « Je devrais plutôt squatter oncle Neal ! C’est moins risqué pour moi de tomber sur des scènes traumatisantes » pouffât-elle de rire.

Katherine attrapât tout ce dont elle avait besoin pour sa crêpe et rejoignit ses parents à table.

_ « Bon appétit ! »